Dès que la mémoire vive s’active dans l’hypertexte, la Base de données cesse d’être morte.
Elle disparaît en tant que centre de mémoire lourde, dans la mesure où tout devient chez elle littéralement accessible ; et ceci paradoxalement par les mêmes moyens, par les mêmes contenus qui assuraient antérieurement l’intégrité technologique de cette Mémoire fixe.
En somme, écrire en évitant d’entrer dans les contraintes programmatiques de la Base – ou bien en s’efforçant au contraire de documenter l’état préexistant de l’hypertexte pour mieux s'y fondre – c’est en dernière instance et structurellement la même chose…