Les effets structurants de l’Hypertexte consistent en dernier ressort en une marque, un stigmate qui authentifie l’écriture comme mnémotechnologie des objets de mémoire.
Ce stigmate peut le plus souvent figurer en lieu et place du titre de l’hypertexte ; par exemple Métabole, sigle acronymique permettant l’emmagasinage de la base de données, mais aussi l’abrègement et la condensation d’une écriture qui pourrait s’entretenir d’une seule et simple signature.
Lorsque ces effets structurants fonctionnement à plein dans le type d’écriture ainsi révélée, on ne peut plus savoir ce qui se lie à quoi et à partir de quels termes, ce qui se présentifie dans l’hypertexte et ce qui s’absente, ce qui est analyse et ce qui devient commentaire, ce qui est original et ce qui est emprunté. Ces effets hypertextuels sont manifestement au-delà, comme en excès par rapport à ce qui se lit et ce qui s’écrit, comme un débord non réductible qui fait que l’hypertexte est rassemblé sans jamais pouvoir prétendre à la totalité…
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Jean-Philippe Pastor